La pratique sexuelle ouvre souvent la voie à plusieurs inclinaisons, et parmi ces dernières, on retrouve certaines qui sont considérées comme taboues dans la société. C’est le cas pour la sodomie, à laquelle on confère le statut de déviance. Pourtant, on a bien l’impression que plusieurs mâles se sentent à l’aise dans cette pratique or du commun, qui semble leur procurer un degré de plaisir supérieur. Comment comprendre cela ?
La sodomie a une vigueur significative plus accentuée
Certains hommes, pensent que la relation sexuelle telle qu’elle est pratiquée, manque d’un petit peu d’intimité, puisque tout le monde le fait.
- Par contre, la sodomie aurait quelque chose de plus intime et donc fusionnel, qui s’établit entre vous. Elle vous rapproche de plus en plus de votre partenaire, et c’est ce degré supplémentaire qui rend la chose plus excitante.
- Le principal leitmotiv qui régit cette excitation, c’est la notion d’interdit, de pervers qu’il y a autour. Le préalable pour vivre une pareille relation, c’est d’être à la base, de bons complices. On ne le fait pas avec n’importe qu’elle fille.
La sodomie permet d’éviter le contact avec le sexe de la femme
- Le principal objet de discrédit de la sodomie est le fait qu’elle constitue un véritable tabou psychologique et moral. Le rapport sexuel à travers cette pratique, est vidé de son objectif principal, celui de la procréation. Il revêt un objectif purement égotiste et inacceptable.
- La femme a peur à un moment donné de ce genre de personne, qui lui ôte toute sa féminité. Car le vagin est bien son pouvoir et ne pas le reconnaître c’est lui enlever tout ce qu’elle a de précieux.